Sous trois faux poivriers, une petite terrasse iconique à la Libé. La chaleur du rayon de soleil dès huit heures. Se réchauffer les matins devant le café. Et manger le pan-bagnat à toute heure !

Le marché, les goélands qui braillent, les vagues là-bas, tout au bout du tram. Ils sont prêts à bondir sur un filet d'aiglefin, attention à vos têtes !

Dans l’air flottent la tomate, la courgette, les blettes, l’oignon et la daube qui mijote. Le marché c'est le poumon comme on dit, rythmé par deux guitaristes qui swinguent manouche, le vendeur de violettes et les locaux qui sont au rendez-vous quotidien.

Les mots s’habillent en niçois, comme un tour de magie transmis par nos cuisiniers régionaux, et les images prennent forme.

Autour, entre amis, un apéro autour d’une bagna cauda, avec les enfants, la famille, on salive devant la socca.

Après le marché, un aller-retour à Rauba Capeù, le vent s’empare des chapeaux, les arbouses de la rando d'hier encore dans les poches, et l’air marin à pleins poumons.

MenBatiSieuNissart®, une collection qui raconte le goût de Nice, entre mémoire gourmande et art de vivre.

En clin d’œil à la langue locale, chaque création est accompagnée d’un petit message en niçois « E mangi… » suivi du nom du produit — pour faire chanter les mots autant que les papilles. Plus qu’un souvenir, c’est une invitation poétique à goûter l’âme de Nice.